Marie Stuart ou Marie Iere dEcosse (1542-1587) est une souveraine dÉcosse. Marie fut détenue à Bolton d'octobre 1568 à janvier 1569 tandis qu'une commission d'enquête, chargée d'évaluer les preuves de sa culpabilité, siégea à York[29],[30]. D'autres auteurs écrivirent qu'elle jouait également de la cithare, de la harpe et du virginal. Après la mort de Marie Ire, il envisagea d'épouser Élisabeth Ire mais elle refusa[249]. Elle est d'abord promise en mariage à Charles Quint, futur empereur du saint empire romain germanique. Entre les 18 et 24 juillet 1567, Marie fit une fausse couche. L'année suivante, Marie devint également marraine à l'occasion du baptême de sa cousine Frances Brandon[10],[11]. Elle était une reine, et par le même titre, un roi[244],[245] ». Il lutte donc contre la nomination d'Arran, faisant valoir un testament que le roi aurait signé sur son lit de mort. Clément VII a peut-être été influencé dans sa décision par Charles Quint, le neveu de Catherine d'Aragon, dont les troupes occupaient Rome dans le cadre de la septième guerre d'Italie[41],[42]. Marie Stuart est née en 1542 en Écosse et est morte décapitée par sa cousine Elizabeth Ire Tudor ,reine d' Angleterre en 1587 . Elle est emprisonnée et abdique au profit de son fils, alors âgé d'un an. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Ire_(reine_d'Angleterre) Il ne voulait pas que Marie devienne reine, car il craignait qu'elle ne restaure le catholicisme et n'annule ses réformes et celles de son père ; ses conseillers lui indiquèrent néanmoins qu'il ne pourrait pas exclure une seule de ses demi-sœurs de l'ordre de succession et qu'il devrait également évincer Élisabeth, même si elle était anglicane. La plus chérie, Bien que des nobles protestants fissent partie du gouvernement écossais formé par Marie de Guise, un petit nombre d'entre eux ne lui faisaient pas confiance et se rassemblèrent comme Lords de la Congrégation (en) en décembre 1557. Mais Élisabeth est protestante et, surtout, bâtarde aux yeux des catholiques puisque le mariage de sa mère Anne Boleyn avec Henri VIII n'a jamais été reconnu par le pape. Ce jour, après dîner ma esté dénoncée ma sentence pour être executée demain comme une criminelle à huit heures du matin. Le 6 juillet 1553, Édouard VI mourut d'une infection des poumons, probablement la tuberculose, à l'âge de 15 ans[106]. Limitée dans ses déplacements et stressée, Marie était fréquemment malade[53]. Un autre problème fut le déclin du commerce textile à Anvers[224]. En février 1567, alors qu'il était en convalescence à Kirk o' Field dans une maison d'Édimbourg, une explosion survint dans la maison et Darnley fut retrouvé mort dans le jardin, apparemment étranglé. Ores m'est peine dure ; Le 9 juillet, elle écrivit depuis Kenninghall au Conseil privé pour faire reconnaître la lettre patente d’Édouard comme acte de trahison selon la loi de Trahison de 1547, et pour lui demander de la proclamer reine[112],[113],[114],[115]. D'une extrême tristesse ; De 1485 à 1603, les Tudor règnent en maîtres. Marie Tudor (1496 - 1533), fille d' Henri VII Tudor et d'Élisabeth d'York, épouse de Louis XII, roi de France ;; Marie I re (1516 - 1558), dite « la Sanglante », fille d' Henri VIII d'Angleterre et de Catherine d'Aragon, reine d'Angleterre ;; Mary Tudor (1673 - 1726), fille illégitime de Charles II d'Angleterre et de Mary Moll Davis. Et en rien n'ai plaisir Marie Ire déclara publiquement qu'elle convoquerait le Parlement pour discuter du mariage et qu'elle déclinerait l'union si l'assemblée estimait qu'elle n'était pas à l'avantage du pays[144],[145],[146]. Jane Dawson répondit à ce commentaire indirectement en déclarant que, « bien qu'il ne s'agît pas d'un lavage de cerveau, le roi de France ne perdit aucune occasion d'éblouir les Écossais avec son pouvoir et son prestige, leur montrant qu'il était le protecteur généreux et soucieux [de leur] royaume du Nord ». Yongle Sujet du message : Re: Pourquoi Marie Stuart n'a pas fait exécuter sa demi-soeur ? Cette dernière perdit son titre de reine et devint princesse douairière de Galles, tandis que Marie fut déclarée illégitime et donc incapable de réclamer le trône à la mort de son père. La régence est laissée à sa mère, Marie de Guise. Parmi les signataires figuraient Huntly, Morton, Borthwick, et les Kerr (en). Et, en soupirs cuisants, Qui est l'amoureux teint. Marie Stuart, reine d'Écosse, drame de Josie Rourke, sortie le 27 février. Cette révolte, appelée Pèlerinage de Grâce, fut violemment réprimée[73]. Toutefois, Élisabeth monta sur le trône d'Angleterre ; la situation entre la France et l'Espagne changea rapidement, leurs finances ne permettant plus de supporter des politiques impérialistes. Elle fut néanmoins avertie que cette convocation était un prétexte pour l'arrêter et ainsi faciliter l'accession au trône de Jeanne[108],[109]. Fille de Marie de Guise et de Jacques V dÉcosse, Marie Ire dÉcosse (en anglais Mary, Queen of Scots, en gaélique écossais Màiri, Bànrigh na h-Alba), nait le 8 décembre 1542 au palais de Linlithgow (Écosse), et meurt le 8 février 1587 décapitée au château de Fotheringhay (Angeterre). Reine d'Écosse (1542-1567) et de France (1559-1560), née le 8 décembre 1542 au palais de Linlithgow (Écosse), morte le 8 février 1587 au château de Fotheringhay (Northamptonshire, Angleterre). Marie était une enfant précoce[16]. La religion catholique & le maintien du droit que Dieu m’a donné à cette couronne sont les deux poincts de ma condamnation & toutesfois ils ne me veulent permettre de dire que c’est pour la religion catholique que je meurs mais pour la crainte du change de la leur & pour preuve ils m’ont ôté mon aumônier lequel bien qu’il soit en la maison je n’ai pu obtenir qu’il me vînt confesser ni communier à ma mort, mais m’ont fait grande instance de recevoir la consolation & doctrine de leur ministre amené pour ce fait. Elizabeth Ière rechigne malgré tout à faire exécuter une souveraine, si coupable soit-elle. Au XVIIe siècle, les persécutions des protestants par Marie Ire lui valurent le surnom de Bloody Mary (« Marie la Sanglante »)[250]. L'union fut impopulaire en Angleterre ; Gardiner et ses alliés s'y opposaient par patriotisme tandis que les protestants ne voulaient pas d'une monarchie catholique[141]. Elle comprit que Jeanne n'était qu'un pion dans le plan de Dudley, et ce dernier fut la seule personne de son rang exécutée pour haute trahison immédiatement après son accession au trône. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône. Parmi ces nobles, on compte Gilbert, 3e comte de Cassilis (en), Alexander, 5e comte de Glencairn (en), James, 6e lord Somerville (en), Patrick, lord Gray (en), Robert, 4e lord Maxwell (en), Laurence, lord Oliphant (en) et Malcolm, 3e lord Fleming (en)[1]. Marie, en catholique fervente, était vue avec soupçon par une grande partie de ses sujets. Finalement, les principaux acteurs furent renouvelés : le cardinal Beaton fut assassiné le 29 mai 1546, et Henri VIII mourut le 28 janvier 1547. Les Guise firent tout leur possible pour sauver le roi, leur succès étant lié à son éventuelle descendance avec Marie. Qui de moi soit requis. Élisabeth considérait les prétentions de Marie au trône comme un complot : elle l'assigna à résidence pendant dix-huit ans sous la garde de George Talbot (en), 6e comte de Shrewsbury et sa redoutable épouse Bess de Hardwick, dont la fille épousa le frère du deuxième époux de Marie et eut un enfant, Arbella Stuart. Le bourreau la ramassa pour la présenter au peuple, mais il ne s'était pas rendu compte que la perruque était encore sur le crâne. Jeanne et son époux, Guilford Dudley, bien que reconnus coupables, furent détenus à la tour de Londres tandis que le père de Jeanne, Henry Grey, fut libéré[127],[128]. Les lettres originales furent perdues en 1584 et les copies ne sont pas complètes. Elle refusa d'offrir une défense écrite à moins qu'un verdict de non-culpabilité ne lui soit assuré, ce que refusa Élisabeth. Bothwell fut généralement considéré comme coupable, mais un tribunal de complaisance l'acquitta. Ce qui m'était plaisant Où Thermes, avec Essé, reçu l'honneur En août, peu après la disgrâce de cette fausse grossesse que Marie Ire estima être le « châtiment de Dieu » pour sa « tolérance des hérétiques dans son royaume », Philippe quitta l'Angleterre pour combattre les Français en Flandre[181]. Marie Ire devint ainsi reine de Naples et reine titulaire de Jérusalem lors de son mariage[158],[159],[160]. Marie devenant alors une jeune femme, ses oncles décidèrent de lui donner comme nouvelle gouvernante une catholique fervente, Françoise d'Estamville, de bonne réputation. La version donnée ici, s'aidant d'une traduction en anglais moderne, ne cherche pas à conserver la poésie mais à rendre le sens explicite. Ses armoiries étaient parfois associées côte à côte avec celles de Philippe. Françoise d'Estamville s'y opposa, demandant les robes pour elle-même. La jeune veuve retourna en Écosse l'année suivante. Elle choisit de porter une tenue rouge sous sa robe d'apparat, se déclarant elle-même martyre catholique. Dont sera le refrain : Pour le premier cas, dans l'émission. Selon Joseph Stevenson[15], l'éducation religieuse de Marie aurait été assurée par sa grand-mère maternelle, Antoinette de Bourbon-Vendôme[note 8] ; l'étude plus récente de Henderson[14] conclut cependant que, quel qu'ait été le personnage prodiguant l'éducation religieuse, elle était en arrière-plan de son oncle, le cardinal de Guise. Le 8 septembre, Arran retourne au sein de l'Église catholique, recevant l'absolution du cardinal. Un portrait et image Le règne de Marie Ire fut marqué par ses tentatives visant à rebâtir le catholicisme après les règnes protestants de son demi-frère et de son père. Bothwell fut emprisonné au Danemark, devint fou et mourut en 1578 en prison. Après leur victoire à la bataille de Pinkie Cleugh le 10 septembre 1547, les Anglais avancèrent jusqu'à Leith sur le Firth of Forth : la reine douairière et Marie se retirèrent discrètement[note 5] du château de Stirling pour le monastère de l'île d'Inchmahome, puis rentrèrent à Stirling après le retrait des Anglais. J'ois qu'il me tient propos, La Société Marie Stuart (anglaise) donne ces deux poèmes : Mary Stuart: The Poet[39]. Selon l'acte de mariage, Philippe recevrait le titre de « roi d'Angleterre », tous les documents officiels seraient signés avec leurs deux noms et le Parlement serait convoqué sous l'autorité conjointe du couple jusqu'à la mort de Marie Ire. Philippe ne parlait pas anglais et ils communiquèrent en espagnol, en français et en latin[165],[166]. Reginald Pole, dont la mère avait été exécutée par Henri VIII, arriva comme légat pontifical en Angleterre en novembre 1554[209],[210]. Dudley perdit ses soutiens[118],[119],[120],[121] et Jeanne fut déposée le 19 juillet[122],[123]. Je jette un deuil tranchant, Elle comprit toutefois à la fin septembre 1560 qu'il n'en était rien. Je la fie à ton amitié, Les éditions ultérieures de l'ouvrage restèrent populaires auprès des protestants durant les siècles qui suivirent et contribuèrent à la perception de Marie Ire comme un tyran sanguinaire[251],[252]. François indiqua au parlement qu'il donnait au duc de Guise le contrôle de l'armée tandis que le cardinal prenait en charge l'administration et les finances. Écoutant les conseils de son épouse, il confia le pouvoir à ses oncles de Guise. Elle lut Plutarque, Plaute et Cicéron en latin, ainsi qu'Érasme, notamment avec Les Colloques et des extraits de La République de Platon traduits en français ; bien qu'elle ait possédé les œuvres complètes en grec, sa maîtrise de cette langue était insuffisante pour en permettre l'étude. Marie Tudor (18 mars 1496 – 25 juin 1533) est la fille cadette d'Henri VII Tudor et d'Élisabeth d'York. Qui figure mon deuil À la suite de la conquête de l'Irlande, des colons anglais s'installèrent dans les Midlands pour protéger la région de Dublin contre les attaques irlandaises. Marie était dans une position difficile car presque tous les membres du conseil privé avaient été impliqués dans la conspiration pour placer Jeanne sur le trône[129]. Elle nomma Gardiner au conseil et le fit évêque de Winchester et lord chancelier, des fonctions qu'il occupa jusqu'à sa mort en novembre 1555[130]. Guidé notamment par John Dudley, il décida d'exclure ses deux sœurs dans son testament[107]. Cromwell perdit les faveurs royales et fut arrêté pour trahison en juin 1540 sur l'accusation qu'il complotait pour épouser Marie[84]. Elle accorda une charte royale à la Compagnie de Moscovie dont le premier directeur fut Sébastien Cabot[227] et commanda un atlas au cartographe portugais Diogo Homem[228]. Elle était parfois appelée princesse de Galles même si elle ne porta jamais techniquement ce titre[28]. Plusieurs observateurs notèrent une grande différence dans le physique des deux époux, considérant parfois que cela conférait un côté « grotesque » à la cérémonie. À son cou se trouvait un pendant étincelant orné de bijoux, un cadeau de son beau-père, et sur sa tête une couronne en or spécialement commissionnée, émaillée de rubis, saphirs et perles ; la rumeur disait que la pierre imposante au centre avait coûté la somme énorme de plus d'un demi-million de couronnes. Un résultat inattendu de la prise du château fut la découverte du registre d'Henry Balnaves : ancien secrétaire du gouvernement de Marie, Balnaves était un agent payé pour la cause de l'Angleterre, et son registre contenait les noms de nombreux nobles favorables à l'Angleterre, parmi lesquels Gray, Cassilis, Lennox et Glencairn, mais aussi Patrick Hepburn, comte de Bothwell (en) (père de celui qui serait le 3e époux de Marie Stuart). La doctrine de l'Église redevint celle précisée par l'Acte des six articles de 1539 qui interdisait le mariage des ecclésiastiques ; ceux dans ce cas furent privés de leurs bénéfices[191],[192]. Ce mariage avec un meneur catholique précipita son demi-frère James dans le parti protestant en rébellion. Le choix du régent était ainsi crucial. Les quatre Marie furent ainsi envoyées dans un couvent dominicain. Au lieu de se rendre à Londres depuis sa résidence de Hunsdon, Marie s'enfuit en Est-Anglie où elle possédait de nombreuses propriétés et où Dudley avait violemment réprimé la révolte de Kett (en)[110],[111]. Marie Stuart fut exécutée au château de Fotheringhay le 8 février 1587 à dix heures du matin, comme suspecte d'avoir participé au complot d'Anthony Babington. Les efforts diplomatiques de Maitland conduisirent à la ratification, par un grand nombre de nobles, d'un document signant l'expulsion des troupes françaises et la défense de la réforme religieuse. Puis le deuxième tomba sur la nuque sans complètement couper le cou, et ce ne fut qu'au troisième que la tête se décolla. Son bourreau était « un jeune pitoyable et maladroit » qui « mit littéralement sa tête et ses épaules en pièces[88] ». Avant longtemps, Marie tomba enceinte, mais Darnley devint arrogant, insistant sur ce que son titre de roi lui donnait du pouvoir. Fille du roi Henri VIII, Marie Tudor s’impose sur les trônes anglais et irlandais en juillet 1553, à l’âge de 37 ans. En 1543, Henri VIII épousa sa sixième et dernière épouse, Catherine Parr, qui parvint à réconcilier la famille[91],[92]. Marie fut instruite dans les matières importantes pour les divertissements en vogue à la cour de France, tels que la fauconnerie et l'équitation, où elle apprit à monter à califourchon plutôt qu'en amazone, contrairement aux usages de l'époque sur l'île. Elle devient reine de France après son mariage avec François II (qui succède à Henri II), de 1559 à 1560. Thème astral de MARIE STUART par Simone Emmanuelle Caratini, illustration Virginie Tainturier. En 1522, il fut décidé qu'elle épouserait son cousin, l'empereur Charles Quint[33],[34],[35],[36], mais l'accord fut rompu au bout de quelques années[37]. Le mariage fut célébré le 24 à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Comme Édouard VI n'avait que dix ans, le pouvoir fut exercé par un conseil de régence dominé par les protestants qui tentèrent d'établir leur foi dans toute l'Angleterre. Henri II ne payant que pour l'éducation de Marie, les fonds destinés aux domestiques et à l'intendance provenaient de sa mère et étaient limités. Comme Marie était catholique, Édouard VI, devenu roi en 1547, tenta de l'évincer de sa succession et, à sa mort en 1553, sa parente Jeanne Grey fut proclamée reine[1]. Le poème fut réalisé en français. Marie Ire eut le cœur brisé et elle sombra dans une profonde dépression. Si je suis en repos, Le premier Parlement, convoqué par la reine en octobre 1553, déclara que le mariage de ses parents était valide et abrogea les lois religieuses édictées par Édouard VI[188],[189],[190]. Ce changement se traduisit de façon immédiate en Écosse : le Parlement renouvela l'alliance avec la France, le cardinal fut confirmé dans sa charge de Lord High Chancellor, et les nobles Angus et Cassilis (en), qui soutenaient auparavant Henri, signèrent un document dans lequel ils soutenaient Arran contre l'Angleterre et défendaient l'Église catholique. Le roi, mourant, se trouve au château voisin de Falkland, lorsqu'un messager lui annonce que la reine a accouché d'une fille. Elle notifia dans son testament que Philippe devrait être régent durant la minorité de son enfant[236]. Pour élever son fils au rang de sa future épouse, Charles Quint lui céda la Couronne de Naples ainsi que ses revendications au royaume de Jérusalem. Une part te reste, elle est tienne, Marie est née le 18 février 1516 au palais de Placentia dans le quartier londonien de Greenwich. La raison invoquée fut qu'Arran, sur les conseils du cardinal, avait brisé la paix et le contrat de mariage, aboutissant donc à la situation délicate dans laquelle le pays se trouvait. Henri VIII lui accorda une suite[69] et les enregistrements de ses dépenses à cette période montrent que Hatfield Palace, le palais de Beaulieu (en), Richmond et Hundson étaient parmi ses principales résidences, de même que les palais de Placentia, de Westminster et d'Hampton Court appartenant à son père[70]. Elle devint ainsi la première femme de l’histoire à être couronnée reine d’Angleterre et à diriger le pays en son propre nom. Le château de Stirling (vu en 1693 par John Slezer). Elle se mit alors en place, et le premier coup lui fit juste une entaille sur l'os occipital. Ce document, exécuté par le révérend Henry Balfour du diocèse de Dunkeld, partage la régence entre le cardinal Beaton, James, comte de Moray, George, 4e comte de Huntly et Archibald Campbell, 5e comte d'Argyll (en)[8]. Les rebelles furent battus à leur arrivée à Londres ; Wyatt, Henry Grey, sa fille Jeanne et son mari Guildford Dudley furent exécutés. Par ordre de son beau-père Henri II, elle fut alors proclamée à Paris reine d'Angleterre, d'Irlande et d'Écosse ; elle prit, avec son mari, les armes d'Angleterre. En 1551, la question de la régence d'Écosse fut débattue. Son père, Jacques V meurt quelques jours après sa naissance, le 8 décembre 1542 et elle est sacrée reine d’Ecosse à 10 mois. Tout au long de l'enfance de Marie, Henri VIII négocia un possible mariage pour sa fille. L'auteur puise ses sources dans le récit de son secrétaire particulier. À partir de 1531, Marie était souvent malade avec des menstruations irrégulières et des épisodes dépressifs, sans que l'on sache si cela était causé par le stress, la puberté ou une maladie[43]. D'une part, l'aide de la France était devenue nécessaire à l'Écosse lorsque Haddington, importante ville écossaise, fut occupée par les Anglais. Arrêtée par une confédération de nobles écossais, Marie fut emprisonnée au château de Loch Leven, situé sur une île au milieu du loch, en juin 1567. [Dans le catalogue de 1962 des livres à la British Library], la Vierge Marie a 150 pages qui lui sont dévolues, Marie reine d'Écosse 455 livres, et la reine anglaise Marie Tudor dite « la sanglante» 73[42]. Cependant, Beaton ne fait aucune objection ouverte aux négociations de mariage entre Marie Stuart et le fils d'Henri. Elle était la fille du roi Henri VIII et de sa première épouse Catherine d'Aragon, et leur seul enfant à avoir survécu jusqu'à l'âge adulte. Elle demanda à son cousin Charles Quint d'exercer des pressions diplomatiques pour qu'elle puisse pratiquer sa religion[97],[98],[99]. Pour les autres membres de la famille, voir, « mit littéralement sa tête et ses épaules en pièces, « le mariage ne fut pas conclu pour des raisons charnelles mais pour remédier aux désordres de ce royaume et préserver les, « Je ressens un regret raisonnable pour sa mort, Regno consortes et urna, hic obdormimus Elizabetha et Maria sorores, in spe resurrectionis, « Consorts sur le trône et dans la tombe, ici nous dormons, Élisabeth et Marie, sœurs, dans l'espoir de la résurrection, « Elle était la fille du roi ; elle était la sœur d'un roi ; elle était l'épouse d'un roi. L'Angleterre ne serait pas obligée de fournir un soutien militaire aux guerres du père de Philippe et ce dernier ne pourrait pas agir sans l'accord de son épouse ou nommer des étrangers dans l'administration anglaise ; il ne pourrait également pas revendiquer le trône si Marie Ire mourrait avant lui[153],[152],[154]. Au milieu du XXe siècle, l'historienne H. F. M. Prescott tenta de réévaluer la vision traditionnelle d'une reine intolérante et autoritaire et les études plus récentes considèrent les anciennes évaluations avec un plus grand scepticisme[253]. Le Queen Mary's book propose ses Œuvres complètes[40]. À 37 ans, Marie Ire commença à se concentrer sur la recherche d'un partenaire pour engendrer un héritier et ainsi empêcher la protestante Élisabeth de lui succéder au trône. La prophétie se révèle fausse concernant Marie Stuart, puisque son fils lui succèdera et perpétuera la dynastie ; en revanche les Stuart perdent la couronne à la mort d'une autre reine, Anne, en 1714[4],[5],[note 2]. Cette dernière, que le jeune François épouse à seulement 15 ans, connut une vie mouvementée et son destin inspira de nombreux artistes et écrivains. Mr Prudhomme. A la mort de Marie Tudor en 1558, Marie Stuart devient légitimement reine d’Angleterre, passant avant sa cousine Elisabeth. Thomas Wolsey, le principal conseiller d'Henri VIII, reprit des négociations avec les Français et le roi suggéra que Marie épouse le roi François Ier qui cherchait à former une alliance avec l'Angleterre[38]. Le bourreau la mit en exposition sur un balcon proche où elle resta une journée. En juin 1566, Marie s'engagea dans une liaison avec Jacques Hepburn, 4e comte de Bothwell, un aventurier qui devint son troisième époux. La liste des rois et reines d'Angleterre du, Lettre de l'empereur Charles Quint à l'impératrice, Comptes rendus contemporains espagnols et anglais cités par. Les bûchers se révélèrent très impopulaires et même Alfonso de Castro (en), l'un des conseillers religieux de Philippe, les condamna[204],[205],[206] tandis que Simon Renard, un autre de ses conseillers, l'avertit que des « exécutions aussi cruelles » pourraient « provoquer une révolte[207] ». Les lettres d’origine sont aujourd’hui perdues et il semble que rien ne prouvait réellement l’implication de Marie Stuart dans ces lettres écrites. De violettes teint, Dans le cadre des négociations, un portrait de Philippe réalisé par Le Titien fut envoyé en Angleterre en septembre 1553[137]. Édouard Courtenay[133],[134] et Reginald Pole étaient considérés comme des prétendants possibles, mais son cousin Charles Quint lui suggéra d'épouser son fils unique, le prince Philippe d'Espagne[135],[136]. Les rebelles furent mis en déroute lors du raid de Chaseabout (en). Ou soit à la vesprée, Il n'a vécut que 3 mois après le mariage. Elle portait alors les deuils successifs de son mari et de sa mère, dont les restes venaient d’être apportés d’Édimbourg à Reims. Même si elle et sa mère étaient malades, le roi l'empêcha de rendre visite à Catherine[56],[57] et elle fut « inconsolable » quand elle mourut le 7 janvier 1536[58]. De plus, selon la coutume anglaise du jure uxoris, les propriétés et les titres d'une femme devenaient également ceux de son mari et certains craignaient que l'homme qu'elle épouserait devînt de fait roi d'Angleterre[149],[150]. Le regret d'un absent. Lors de la cérémonie funèbre, l'évêque de Winchester, John White, fit les louanges de Marie Ire : « Elle était la fille du roi ; elle était la sœur d'un roi ; elle était l'épouse d'un roi. La dernière modification de cette page a été faite le 13 janvier 2021 à 00:19. Ainsi, l'héritière après Marie Tudor à la couronne d'Angleterre devait venir de la sœur aînée d'Henri VIII, Marguerite Tudor, dont la descendante directe était Marie Stuart. Dans le Nord de l'Angleterre, des rebelles, dont lord Hussey, l'ancien chambellan de Marie, se soulevèrent contre les réformes religieuses d'Henri VIII et l'une de leurs demandes était la relégitimation de Marie.