Un astronome musulman célèbre du XVIe siècle, l’Ottoman Taqi al-Din fit construire en 1577 l’observatoire d'Istanbul, où il put observer le ciel jusqu’en 1580. Ainsi, entre 833 et 857, Alfraganus rédigea Kitab fi Jawani (« Compendium sur la science des astres », ou « Éléments d'astronomie » selon les traductions). Le quadrant simple est un instrument de visée permettant de déterminer la hauteur d'un astre : lorsque le bord du quadrant est aligné avec l'astre, le fil à plomb permet de déterminer sa hauteur. Ces découvertes ont été effectuées pour l’essentiel dans les sultanats du Moyen-Orient, d’Asie centrale, dans l’Al-Andalus, en Afrique du Nord, puis plus tard en Chine et en Inde. Pour construire leur nouveaux modèles planétaires, ils utilisèrent deux résultats mathématiques. Celles-ci et leur dénominations ont été transmises par les grecs mais étaient souvent d'origine beaucoup plus ancienne, héritées des sumériens et de leurs successeurs akkadiens et babyloniens[148]. Les tables qu'il produisit, dédicacées à l'empereur Muhammad Shâh et connues sous le nom de Zīj-i Muhammad Shāhī, furent utilisées pendant près de 150 ans[134]. Le modèle d’al-Bitruji (ou Alpetragius) fut analysé, critiqué puis rejeté au profit d’une théorie planétaire plus ptoléméenne issue d’un ouvrage attribué à Ibn al-Haytham (ou Alhazen). Parmi celles-ci on peut citer la Theorica planetarum Gerardi et surtout la Theorica planetarum de Campanus de Novare qui fut étudiée dans les universités jusqu'au XIVe siècle[140]. Contrat postdoctoral d'un an en histoire de l'astronomie à l'Observatoire de Paris History of ancient and medieval mathematical astronomy: A 1-year post doc position * * * Publié le mercredi 20 juillet 2016 par Céline Guilleux . La seconde catégorie regroupait les « sciences étrangères », en fait quasiment toutes issues du patrimoine hellénistique : la philosophie, l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie et l’astrologie, l’alchimie, connues par les traductions en arabe des textes grecs antiques. Les premiers outils mathématiques de cette astronomie théorique furent principalement Les sphériques de Ménélaos d'Alexandrie et la trigonométrie indienne[61] ainsi que les Éléments d'Euclide[62]. OAI identifier: oai:persee:article/rebyz_1146-9447_1929_num_28_156_2626_t1_0497_0000_5 Il faut attendre le XIVe siècle et le cadran solaire d'Ibn al-Shatir pour voir apparaître un cadran solaire dont le gnonom est parallèle au pôle, ce qui permet de donner les heures régulières à n'importe quelle latitude. 3 L’astronomie est une science exacte, et les astronomes arabes ont perfectionné l’astronomie grecque dès le IX e siècle en y introduisant, entre autres, le principe des observations continues. Està voltada d'una corona graduada. Ptolémée faisait coïncider l'année tropique et l'année anomalistique et l'avait fixée à 365 jours 14 h 48 min. (Astronomie, Sciences) Science ayant pour objet l'observation et l’étude des corps célestes dans leur position, leur mouvement et leur constitution. Il dressa des tables malheureusement incomplètes al-Zīj al-Shāhinshāhī, ses caractéristiques de l'orbite apparente du soleil sont plus précises que celles de Nicolas Copernic et de Tycho Brahe[126]. The United Arab Emirates, China and the United States all launched robotic missions to Mars last summer, seeking shortened voyages during the … Si l'on trouve des défenseurs de l'astrologie comme Abou Ma'shar al-Balkhî, de nombreux astronomes critiquèrent cette discipline. Les catalogues d’étoiles ont été très populaires, en particulier le Livre des étoiles fixes d’Al-Sufi (en 964) et … Au XVe siècle, Ulugh Beg fit construire un « Sextant de Fakhri », d’un rayon d’à peu près 40 m[203]. Le calcul du jour où le croissant lunaire recommence à devenir visible constituait un redoutable défi pour les savants arabes. On trouve également mention d'un équatoire dans les écrits d'al-Kashi[193]. Elle vit la traduction de plusieurs écrits sanskrits et pehlevis en arabe. Au Xe siècle, al-Sufi décrivit grâce à ses observations la position, la magnitude, la luminosité, et la couleur des étoiles, dessinant les constellations une par une dans son Livre des étoiles fixes (Kitab suwar al-kawakib al-thabita) (964). L'astrolabe sphérique semble être une invention arabe mais aurait eu plus un rôle d'objet de démonstration que d'objet utilitaire. Sur les tables numériques (, L'heure saisonnière est la douzième partie de l'intervalle de temps entre le lever et le coucher du soleil. Elles servaient aussi à résoudre des problèmes d'astronomie sphérique. Ces critiques, cependant, préservaient le paradigme ptolémaïque, en se confinant aux conceptions géocentriques[76]. F.Jamil Ragep, al-Tusi, The Biographical Encyclopedia of Astronomers, Springer Reference. « Ptolémée fait l'hypothèse d’un ordre qui ne peut exister, et le fait que cet ordre reconstitue pour son imagination des mouvements qui sont ceux des planètes ne l’exonère pas de l'erreur qu’il a commise en faisant l’hypothèse de cet ordre ; car les mouvements réels des planètes ne peuvent résulter d’un ordre qui n'existe pas[82]. Les savants musulmans recherchèrent une configuration physique (hay’a) de l’univers simultanément compatible avec les axiomes mathématiques et les principes physiques. New York: Springer, 2007, pp. L'année tropique et l'année sidérale sont de durées différentes à cause de la précession des étoiles fixes. Travaux récents en histoire de l'astronomie arable* - Volume 7 Issue 2. La période qui s'étend du IXe siècle au début du XIe siècle fut marquée par d'intenses recherches, à la suite desquelles on reconnut d'abord la supériorité du système de Ptolémée sur les autres, et où on lui apporta diverses précisions. L'astrolabe planisphérique simple ne pouvait être utilisé qu'à une latitude déterminée. Observatoires - Dans l’histoire de l'astronomie, l’astronomie arabe renvoie aux découvertes astronomiques accomplies par la civilisation islamique, particulièrement au cours de l’Âge d'or de l'Islam (VIIIe siècle-XVIe siècle), et transcrites pour la plupart en langue arabe. Non seulement les califes apportaient à ces travaux un soutien financier, mais ils conféraient aux savants un réel prestige[44]. L’arabe devint la langue des lettrés, et les savants musulmans d’Irak ajoutèrent leurs propres contributions à l'astronomie, jusqu’au sac de Bagdad en 1258. L'intérêt pour l'astronomie a été constant en monde arabe, et nous pouvons situer le commencement d'un travail original en astronomie mathématique vers la fin du VIIIe siècle, ave la traduction arabe des oeuvres astronomiques indiennes, qui donnèrent aux scientifiques de … Sciences arabes. Au Xe siècle, la dynastie des Bouyides encouragea de grands projets, utilisant des appareils de grandes tailles nécessitant la construction de bâtiments en dur à Rayy sous le règne de Fahkr al-Dawla où al-Khujandi réalisa un grand sextant pour des observations solaires, à Ispahan où al-Sufi observa les étoiles fixes, à Bagdad, dans le palais royal de Charaf ad-Dawla Chirzil où les astronomes al-Quhi et Abu l-Wafa entreprirent un programme d'observations des étoiles[159]. On note cependant durant le règne d'Akbar puis celui de Shâh Jahân des créations de tables mettant à jour les Tables sultaniennes d'Ulugh Beg[129] et l'intérêt d'Humayun pour l'astronomie était évident. Tables astronomiques d’Oloug Beg, commentees et publiees avec le texte en regard, Tome I, 1 fascicule, Paris. On trouve également dans des écrits arabes du VIIIe siècle des références à un recueil de chroniques astronomiques compilées sur deux siècles dans la Perse des Sassanides et connu en arabe sous le nom de Zij al-Shah (ou Tables Royales)[35]. "En trigonométrie, considérée d'abord comme une branche de l'astronomie, p yuis constituée en science indépendante, les Arabes ont de beaucoup surpassé les Grecs et les Indiens. - scientifique commune : la langue arabe Le mécénat des Califes En Europe, entre l’époque de Ptolémée et celle de Copernic, une période de plus de mille ans, l’astronomie ne connait pas de développement notable. Watch Queue Queue. Les musulmans doivent pouvoir déterminer les heures locales de prière à cinq moments de la journée (de l’aurore au soir)[1], dans toute l'étendue d'un vaste empire. Il existe ainsi un document que l'on peut, avec une certaine vraisemblance, attribuer à l’aîné des frères Banou Moussa, démontrant mathématiquement l'inexistence d'une neuvième orbe censée expliquer le mouvement diurne des astres[69]. A la part superior hi ha un suspensori amb una anella per penjar-lo d'una corda. Les astronomes les plus éminents de l’École de Maragha du XIIIe et XIVe siècles sont Mu'ayyad al-Din al-'Urdi (en) (m. 1266), al-Tūsī (1201-1274), Najm al-Dīn al-Qazwīnī al-Kātibī (en) (m. 1276), al-Shirazi (1236-1311), Sadr al-Shariʿa (m. vers 1347) et Ibn al-Shatir (1304-1375). Elles corrigeaient les valeurs numériques des tables grâce aux nouvelles séries de mesures effectuées. Signalez des exemples à modifier ou à retirer. Le monde arabe, par son étendue, offrit la possibilité de mettre en commun des traditions scientifiques différentes, venant de pays différents, aux cultures différentes et aux hommes de religions différentes, dans une langue scientifique commune qui fut la langue arabe[7]. Son objectif principal était l'observation du Soleil et de la Lune[133] et la mise à jour des tables sultaniennes. Traductions en contexte de "l'astronomie" en français-espagnol avec Reverso Context : Puis l'astronomie s'est libérée du carcan de l'astrologie. L'origine n'est toutefois pas toujours facile à reconstituer, car ces noms ont été parfois fort mal transcrits de l'arabe vers le latin, et dans certains cas de façons divergentes[148]. Par contre dans le monde islamique, d’importants progrès vont se produire, entre le IXème et le XIème siècle, tant Les observations astronomiques ont commencé dès le VIIIe siècle puisque Ibn Yunus rapporte l'existence de telles observations à Gundishapur avant 790[156] mais le premier programme d'observations est celui financé par le calife Al-Ma’mūn à la fin de son règne (vers 830). Il développa la thèse d’al-Tusi et conclut, se fondant davantage sur l’expérience que sur la philosophie spéculative, que la théorie d'une Terre en mouvement est tout aussi plausible que celle de la Terre immobile, et qu’il est impossible de discriminer empiriquement si l'une de ces deux thèses est vraie[117],[115],[118]. Parmi-ceux-ci on compte le grand observatoire de Samarcande construit en 1420 par le prince Ulugh Beg, lui-même astronome et mathématicien, où travailla Al-Kachi, le grand observatoire d'Istambul construit par Taqi al-Din en 1577 et les observatoires du prince Jai Singh II en Inde au XVIIe siècle dont le Yantra Mandir[163]. Après Ptolémée, sur plus de mille ans, les connaissances en astronomie stagnent en Europe. L’intérêt des Arabes pour l’astronomie a crû parallèlement à celui pour les mathématiques. Linguee Apps . Mais il s'agissait pour les traducteurs de présenter une simple compilation de connaissances sans vérification[37]. On regroupe sous ce vocable un grand nombre d'instruments en forme de quart de cercle. Cette langue permit des échanges autant sur des textes anciens que sur des textes contemporains et favorisa la mise en place d'une tradition de correspondance scientifique[7]. Sous son règne se développa à Lahore un grand centre de construction d'instruments (astrolabes, sphères célestes) qui perdura jusqu'au XIXe siècle[131]. Utilisez le dictionnaire Français-Arabe de Reverso pour traduire astronomie et beaucoup d’autres mots. jamais vraiment remis en cause jusqu’au XVe siècle. Look up words and phrases in comprehensive, reliable bilingual dictionaries and search through billions of online translations. Il existe plusieurs facteurs favorisant le développement de l'astronomie arabe, certains sont communs à toutes les sciences comme le désir de connaitre le monde environnant, ou bien la structure du monde arabe favorisant les échanges de savoir. © 2013-2020 Reverso Technologies Inc. All rights reserved. Astrolabi del segle xviii amb el seu joc de làmines.. La mare (al-umm) és una caixa cilíndrica amb un fons de poc gruix on s'acoblen la resta elements. Parmi eux, on peut citer l'astronome persan al-Biruni au XIe siècle[26], al-Fârâbî[27], Alhazen[28], Avicenne[29], Averroès[27], Maïmonide[30] et Ibn Qayyim al-Jawziyya[31]. Deux écoles en particulier proposèrent des alternatives au modèle de Ptolémée : l'école andalouse et l'école de Maragha[84]. S. Dalley, 1998, p. Next registration session : from 11 January to 31 January 2021 Language courses beginning : the week of 1 February 2021. On a trace de son activité jusqu'en 1316. Les principaux apports sont d'abord indiens et perses, puis grecs et ce sont ces derniers qui exercent l'influence la plus profonde[33]. Cet instrument, fondé sur le principe de la projection de la sphère céleste et de la course du soleil, permettait entre autres choses[171], de déterminer l'heure locale grâce à la mesure de la hauteur d'un astre, de mesurer la hauteur d'un bâtiment, déterminer l'heure du lever ou du coucher des astres, etc. Un autre problème préoccupa les premiers astronomes arabes concernant la durée de la course du soleil. Il en existe un exemplaire à la bibliothèque de l'Escurial, et, au début du XX e s. Nallino a publié ce texte arabe, en y joignant une traduction latine enrichie de nombreuses notes qui nous donnent de précieux renseignements sur l'histoire de l'astronomie grecque et arabe. L'astrolabe universel pouvait être utilisé à plusieurs latitudes. Ce calendrier s'appuie sur des mois lunaires et nécessite de déterminer le mouvement de la lune. L’Almageste a effectivement fait date en astronomie, rassemblant, à l’instar des Éléments d’Euclide pour la géométrie, toutes les connaissances contemporaines de leur auteur. Les noms traditionnels des étoiles des langues européennes sont encore largement utilisés, bien que concurrencés par le système de désignation de Bayer, or beaucoup de ces noms sont issus de transcriptions de l'arabe réalisées au Moyen Âge[147]. Al-Tusi affirma ainsi que l'observation seule ne permettait pas de déterminer si la terre était immobile ou non, contrairement à une affirmation de Ptolémée mais se résolut finalement à la considérer comme immobile en vertu d'un principe philosophique selon lequel un mouvement de la terre ne pourrait être que rectiligne et non circulaire[112]. - Hilal (mixte) = Croissant de lune somptueux (arabe) - Hilel / Hillel = Croissant de lune somptueux (arabe) - Hina = Généralement attribué aux filles en reference à Hina déesse polynésienne de la lune - Hinepotea (féminin) = Filles des nuits claires de la lune (polynésiens) - Ismène = Lune (grec) - Jacy (masculin) = Lune (amerindien) Favorisée par la construction d'instruments de grande taille et la multiplicité des observations, la mesure de l'obliquité de l'écliptique entreprise par Alfraganus[51], Al-Battani[52] puis al-Khujandi, se précisa progressivement de 23° 51′ pour Ptolémée à 23° 32′ 19″ pour al-Khujandi à la fin du Xe siècle[53]. Ce mouvement était possible grâce au respect envers les savants d'autres cultures[1]. Aussi même s'il n'y avait aucun contact entre Grecs et Arabes avant la période islamique, on peut observer des rapprochements dans les noms, qui ne témoignent que de racines communes[150]. Le quadrant horaire universel permet de déterminer l'heure saisonnière à toute latitude. En 1259, Houlagou Khan finança la construction de l’observatoire de Maragha et al-Tusi en fut le premier directeur[165]. Nos connaissances sur les instruments utilisés ou fabriqués par les astronomes musulmans du Moyen Âge nous viennent essentiellement de deux sources : d’une part les instruments conservés dans les collections privées et des musées, d’autre part les copies de traités et les manuscrits du Moyen Âge parvenus jusqu'à nous. Les traductions vulgaires ou familières sont généralement marquées de rouge ou d’orange. Il fut un ouvrage de référence dans le monde arabe[46] et eut une influence dans l'Europe médiévale après sa traduction en latin au XIIe siècle par Adelard de Bath. L'astrologie joue donc aussi un rôle dans le développement de l'astronomie arabe. Dès la fin du Xe siècle, l’usage et la description des instruments arabes, et en particulier de l’astrolabe, étaient connus dans le monde occidental par les traductions de traités les concernant (Llobet de Barcelone, Gerbert d'Aurillac, Hermann le boiteux)[136]. Blog Press Information. Les mesures, obtenues grâce à de nouvelles méthodes d'observations[48], montrèrent un décalage entre leurs résultats et ceux de Ptolémée et conduisirent à un travail de reprise théorique de ces derniers[49]. Le livre sur les étoiles fixes d'al-Sufi (965) présente ainsi les constellations sous deux aspects symétriques, vues du ciel et vues sur une sphère céleste. Al-Battani mit en évidence la variabilité du diamètre apparent du Soleil et de la Lune, ce qui le conduisit à considérer comme possibles les éclipses annulaires, remettant ainsi en cause une affirmation de Ptolémée[52]. ». Progressivement, la taille des instruments augmentant, la nécessité de construire des bâtiments spécifiques s'est fait sentir. Les instruments de l'observatoire de Maragha sont décrits par al-'Urdi (en), ils sont de même type que ceux déjà cités à l'exception d'un cercle azimutal pourvu de deux quadrants permettant de prendre simultanément la hauteur de deux étoiles[166]. On peut également citer la Table Vérifiée (Al-Zij al-Mumtahan ) d'Yahya Ibn Abi Mansour au IXe siècle dont les valeurs numériques servirent de référence pour les astronomes ultérieurs[57], les Tables de Damas (al-Zij al-dimashqi) d'Habash al Hasib pour son utilisation des fonctions trigonométriques, les Tables Sabeennes (al Zij al-Sabi) d'Al-Battani (Albatenius) (853-929) qui eut une grande influence sur l'astronomie au Moyen Âge occidental grâce à une traduction intégrale en latin dès le XIIe siècle[52], et la Grande Table Hakémite (al-Zij al-hakimi al-kabir), ouvrage monumental d'ibn Yunus (fin du Xe siècle - début du XIe siècle) dont la précision des observations a été utilisée par les scientifiques modernes, après sa traduction au XIXe siècle, dans l'étude de l’accélération séculaire de la Lune[58]. Selon Régis Morelon[70], son ouvrage clôt cette première période de l'astronomie arabe tout en restant globalement dans le cadre qu'en avait dressé Ptolémée. What courses? We use cookies to distinguish you from other users and to provide you with a better experience on our websites. Bien que la visibilité effective du croissant soit en principe exigée, et que cette méthode expérimentale soit couramment utilisée pour fixer le début du ramadan, la question posée aux astronomes était de trouver une méthode pour prédire cette visibilité[13].