En 1991, la statue est décapitée par un groupe d'inconnus. Joséphine se retrouve, de fait, au cœur des intrigues. Napoléon divorce d'elle, et elle se retire dans son domaine de Malmaison. Elle est la fille aînée de Joseph-Gaspard de Tascher de La Pagerie et de Rose Claire des Vergers de Sannois . Elle arrive en métropole après son mariage avec Alexandre de Beauharnais, figure de la Révolution française, exécuté durant la Terreur ; durant cette période, Joséphine est emprisonnée plusieurs mois. » ACCUEIL » LIVRES » BIOGRAPHIES » BIOGRAPHIE GÉNÉRALE. Certains de ses biographes, comme Françoise Wagener ou André Castelot, la révèlent à cette époque comme une veuve joyeuse, ce que réfute un autre historien, Pierre Branda, en la présentant « plus volontiers comme une élégante raffinée qu'en muscadine dévergondée »[18]. Compte tenu de sa proximité avec les Antilles, il semblerait en effet logique qu'elle ait tenté d'influencer Bonaparte sur ce sujet. Elle lui fit deux enfants (Eugène et Hortense). Si son rôle demeure secondaire dans la préparation du coup d'État, elle accompagne Bonaparte dans chacune de ses sorties et active ses différents réseaux pour obtenir des informations[a 33]. La nouvelle constitution fait peu de cas du statut de l'impératrice. Dans cette optique, le rôle de Joséphine devient central : elle seule « triomphant de son invincible époux », elle apparaît désormais comme un personnage dont l'emprise est réelle sur son mari, ce qui tend à rassurer l'opinion. Si la précipitation du mariage étonne, elle s'explique par le départ imminent de Bonaparte, nommé général en chef de l'armée d'Italie le 2 mars précédent, mais certains auteurs évoquent une possible grossesse de Joséphine qui aurait poussé les deux amoureux à régulariser leur situation[a 17]. « Joséphine de Beauharnais », n’a été appelée ainsi que durant les cinq dernières années de sa vie. Outre ses nombreuses commandes aux joailliers, ébénistes et décorateurs de son temps et son influence sur la mode, Joséphine, comme ses enfants, la reine Hortense et le prince Eugène, soutinrent fortement par leurs achats la nouvelle peinture de style troubadour prenant pour sujet des épisodes historiques du Moyen Âge au XVIIe siècle, qui apparut en 1802, lorsque Fleury Richard exposa avec beaucoup de succès au Salon, son tableau Valentine de Milan pleurant la mort de son époux Louis d’Orléans, assassiné en 1407, par Jean, duc de Bourgogne, lequel fut acquis par l'impératrice. Son monument funéraire, œuvre de l'architecte Louis-Martin Berthault et du sculpteur Pierre Cartellier, est surmonté d’une effigie en marbre de Carrare de Joséphine dans la même attitude que dans le tableau du Sacre de David. Il lui attribue ainsi un rôle officieux : outre le fait d'accompagner Napoléon dans la plupart de ses déplacements officiels, une obligation protocolaire impose dès lors aux membres du corps diplomatique de rendre visite à Joséphine en sortant des audiences officielles avec Bonaparte. Son fils Eugène, marié à la fille du roi de Bavière, est l'ancêtre, par sa fille Joséphine, des familles royales de Norvège et de Suède ; il est aussi le père de l'impératrice du Brésil Amélie, du prince consort du Portugal Auguste, du grand-duc de Russie Maximilien. Inséparables, les deux femmes rivalisent d'élégance dans les salons. Elle fut aussi la veuve d'Alexandre de Beauharnais. À son retour d'Égypte, Bonaparte est résolu à divorcer, mais il y renonce finalement par attachement à Hortense et Eugène, et suivant les conseils de quelques proches, dont Barras et le munitionnaire Collot[30],[a 32]. Son attachement à la noblesse transparaît également dans la défense du duc d'Enghien, qu'elle tente de sauver alors que celui-ci est menacé de comploter contre Bonaparte et d'avoir cherché à l'assassiner[34]. « aurait eu des rapports avec des nègres », « plus volontiers comme une élégante raffinée qu'en. Touché par sa démarche, Bonaparte accepte. Bien qu'elle soit proche des membres du pouvoir en place, notamment les directeurs Barras et Gohier, qui lui fait la cour, elle choisit de rallier la cause de son mari[a 33]. La dernière modification de cette page a été faite le 10 janvier 2021 à 22:16. Marie-Rose Tascher de la Pagerie, née à la Martinique en 1763, fut d'abord la malheureuse épouse du vicomte de Beauharnais avant de devenir en 1796 la générale Bonaparte et une égérie du Directoire. À chaque nouvel éloignement, chacun des deux époux démontre sa jalousie et soupçonne l'autre d'adultère dans des lettres parfois incendiaires[a 21]. Elle ne rentre à Paris que le 15 septembre et doit renoncer à rejoindre Napoléon en Égypte après le désastre de que connaît la marine française lors de la bataille d'Aboukir et qui condamne toute tentative de liaison maritime avec la France. Elle fut aussi la veuve d'Alexandre de Beauharnais. On prétend qu'elle suit les chasses du roi Louis XVI et les beaux cavaliers qui y participent : le comte de Crenay, le duc de Lorge ou le chevalier de Coigny. Elle entreprend une correspondance suivie avec le préfet des Alpes-Maritimes, M.-J. Jugé en partie responsable de la chute de Mayence le 23 juillet[12], il est limogé et contraint de regagner son fief de La Ferté-Beauharnais, puis très vite inquiété. Des les premiers temps de leur relation, Napoléon se montre particulièrement passionné. En parallèle, sa relation amoureuse avec Hippolyte Charles, jusqu'alors soupçonnée, est désormais avérée. Ils se séparent six ans plus tard, après des années malheureuses, ayant deux enfants prénommés Eugène et Hortense de Beauharnais. Joséphine de Beauharnais . Au début de l'année 1795, elle obtient auprès des autorités départementales du Loir-et-Cher la levée des scellés sur les biens de son défunt mari. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Malgré son mariage stérile avec Napoléon, Joséphine a une importante postérité grâce aux enfants de son premier lit. Joséphine s'emploie notamment à « ranimer l'activité des loges dites d'adoption, essentiellement féminines et tournées vers la charité avec ostentation[a 44]. Venue en France très jeune… » Toute sa vie, Joséphine triche sur la date de sa naissance pour se rajeunir. C'est là que grandit Marie-Josèphe-Rose, la future Joséphine de Beauharnais. À son retour en France à l'automne suivant, il oblige Joséphine à quitter le domicile conjugal et la contraint d'entrer au couvent, à l'abbaye de Penthemont, tandis que leurs enfants sont confiés à une nourrice. Elle projette de marier le fils de ce dernier, Alexandre de Beauharnais, avec une des filles de Gaspard-Joseph. Au bout de cinq années, sans enfant, il la répudie. Au début du mois de mai suivant, Joséphine suit Napoléon à Toulon où ce dernier s'embarque pour la campagne d'Égypte, avant d'aller prendre les eaux à Plombières, dans les Vosges, dont les eaux sont alors réputées comme un remède à l'infertilité[a 28]. Élevée en Martinique, rescapée de la guillotine, elle devient la coqueluche du Paris de l'après-Terreur et multiplie les amants jusqu'à sa rencontre avec le général Bonaparte. Bénéficiant de l’aide de l’État, et étant nostalgique des végétaux exotiques de La Martinique, elle réunit dans les serres de son château de la Malmaison de nombreuses plantes étrangères remarquables. Le clan Bonaparte n'accepte pas les bontés attribuées par Napoléon aux enfants du premier mariage de Joséphine, mais plus encore, c'est la question de l'hérédité qui devient un sujet d'affrontement récurrent entre eux : puisqu'elle ne semble pas en mesure de donner des enfants au Premier consul, les frères de ce dernier cherchent à le convaincre de divorcer[a 38]. Vie de l’impératrice Joséphine est le titre d’une biographie anonyme publiée en 1814 chez Vauquelin, où Joséphine, pendant la captivité, est présentée … Repères biographiques : Joséphine de Beauharnais par Françoise Wagener 24 Novembre 2012 M arie-Joseph Rose Tascher de la Pagerie, née en Martinique en 1763, descend, du côté maternel comme du côté paternel, de la très ancienne noblesse guerrière. À l'inverse, et contrairement à une idée largement répandue, son influence dans le rétablissement de l'esclavage dans les colonies françaises est négligeable, comme le souligne Pierre Branda[a 37] : « Fille des îles, une légende tenace lui attribue notamment la responsabilité du rétablissement de l'esclavage dans les colonies. Selon Patrice Gueniffey, l'impératrice n'aurait joué aucun rôle dans cette affaire[35]. Pour autant, sa position est sécurisée par l'article 15 qui précise que l'empereur peut fixer le douaire de l'impératrice et l'assigner sur la liste civile, tout en stipulant que ses successeurs ne pourront rien changer à ces dispositions. Fille d'une famille de planteurs de la Martinique, elle est envoyée à Paris en 1779, à l'âge de seize ans, pour y épouser le vicomte Alexandre de Beauharnais. L'aventure amoureuse entre Joséphine et Hippolyte Charles prend fin, probablement du fait de ce dernier, au début de l'année 1799[a 28]. L'historienne Françoise Wagener évoque un nouveau « pacte » scellé entre les deux époux[32]. Elle loue alors une maison de la rue Chantereine à Paris, où elle peut mener une existence raffinée sans pour autant supporter les charges financières d'un véritable hôtel particulier[a 11]. Ce jardin botanique comprend deux parties dont l’une, d’une surface de 30 perches est destinée « à cultiver et à acclimater des plantes exotiques » et l’autre, d’une surface de 25 perches, comprend une grande serre. Biographie Joséphine de Beauharnais sur info-histoire.com. L'absence de naissance dans le couple Bonaparte devient une affaire d'État à mesure que Napoléon renforce son pouvoir. Account & Lists Returns & Orders. Un greffier du Comité de sûreté générale, Charles de La Bussière, probablement amoureux d'elle, s'attribue sa libération et affirme avoir fait disparaître son acte d'accusation[14]. Très épris, jaloux et possessif, il adresse de nombreux courriers à sa promise qu'il appelle le premier Joséphine, transformant ainsi son deuxième prénom[21],[Note 5]. Mariée au futur grand-duc Charles II de Bade, elle est grande-duchesse de Bade de 1811 à 1818. Elle explique également le retour tardif de Joséphine à Paris : alors que le traité de paix est signé le 17 octobre, elle ne rentre en France qu'à la fin du mois de décembre afin de rester auprès de son amant toujours en poste dans la péninsule. Dans les jours qui suivent, le jeune Eugène de Beauharnais s'adresse directement à Napoléon pour que lui soit restitué le sabre de son père, alors saisi parmi d'autres armes. Pour les autres membres des familles, voir : Les enfants de Joséphine, Eugène et Hortense. Elle joua beaucoup de cette image. Elle se rapproche alors de personnalités issues de milieux très variés voire opposés : Joséphine fréquente aussi bien les amis de son mari, comme le marquis de La Fayette ou le marquis de Caulaincourt, que les constituants de gauche, notamment par l'intermédiaire de Charlotte de Robespierre, ou encore des personnalités des milieux contre-révolutionnaires comme Michelle de Bonneuil. » Son exil se prolonge néanmoins puisque Bonaparte refuse son retour en France, un retour qui n'est rendu possible que par la signature du traité de Campo-Formio, qui met fin à la campagne d'Italie, le 17 octobre suivant[a 25]. Titres. Impératrice des Français. Signature. She was the daughter of Joseph-Gaspard de Tascher andRose-Claire des Vergers de Sannois and was born into a wealthy Creole family. Cette version est attestée par les enfants de Joséphine, Eugène et Hortense, de même que par Barras[a 15]. Une réception est donnée en leur honneur, mais devant la menace d'une offensive autrichienne, Joséphine est priée de se réfugier à Vérone, où elle se rend aussitôt. Celle-ci prend peu à peu des allures de souveraine, plus encore après la déclaration du Consulat à vie en 1802[a 35]. Joséphine de Beauharnais Née en 1763 aux Trois-Ilets en Martinique, Marie-Joseph-Rose de Tascher de la Pagerie connaît une enfance heureuse dans la plantation familiale avant d'être envoyée à Paris à l'age de 16 ans. », « Elle recevait beaucoup de monde, avec bonne grâce, et se faisait remarquer par l'insignifiance prescrite et bienveillante de ses paroles, « ranimer l'activité des loges dites d'adoption, essentiellement féminines et tournées vers la charité avec ostentation, « ne fut pour rien dans le rétablissement de l’esclavage aux colonies par Bonaparte en 1802 ». Partageant les mêmes goûts pour l'art de paraître et pour l'argent, Barras et Joséphine deviennent très intimes, au point qu'on leur prête une relation amoureuse[a 14]. Selon le docteur Alain Goldcher, ces douleurs seraient dues à une salpingite, consécutive à une infection urinaire banale qui aurait entraîné une fausse couche et serait la cause de la stérilité de Joséphine[24]. C'est Bonaparte qui la baptisa Joséphine. Intronisée impératrice en 1804, Joséphine de Beauharnais reçoit la couronne impériale des mains de l'empereur. Joséphine ne cache pas son ennui, aussi bien aux Tuileries que dans leur domaine de la Malmaison, où le couple séjourne habituellement du vendredi au lundi midi[a 34]. Joséphine Marie-Josèphe Rose Tascher de La Pagerie (1763 -1814) Elle épouse le vicomte de Beauharnais, révolutionnaire qui sera guillotiné. Pour autant, le rôle de Joséphine prend une nouvelle dimension lors de ce séjour en Italie. Désormais veuve, elle ne dispose plus d'aucun revenu régulier, d'autant plus que les biens d'Alexandre ont été saisis, mais en tirant profit de son habileté dans les relations tout comme de la crise monétaire qui frappe la France, elle parvient très rapidement à retrouver son rang. Joséphine se marie le 13 décembre 1779 avec Alexandre de Beauharnais. Le 21 avril suivant, sur les conseils du maire de Croissy Jean Chanorier, elle fait l'acquisition du château de Malmaison, propriété du banquier Jacques-Jean Le Couteulx du Molay, pour la somme de 325 000 francs[29]. Dans sa correspondance avec Madame Tallien, elle évoque une « douleur de côté » continue et la fièvre qui ne la quitte pas[a 20]. Il l'accuse également de continuer sa vie mondaine tandis que lui se morfond dans son quartier général. Eugène est alors retourné vivre chez son père. La situation évolue défavorablement pour le couple Beauharnais au cours de l'année 1793[a 10]. Condamné par le Tribunal révolutionnaire, il est guillotiné le 23 juillet. En effet, l’Impératrice entretenait d’étroites relations avec les professeurs du Muséum national d’histoire naturelle que ce soit pour l’échange d’espèces[54] ou pour faire de ces animaux des objets d’étude au service de l’histoire naturelle[55]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. de A. Égron (Paris)-1815 Il s'agit d'une relation extra-conjugale puisque Marie-Euphémie-Désirée est mariée avec Alexis Renaudin depuis 1759. La rue Chantereine est renommée rue de la Victoire à la fin de l'année 1797 en hommage à la campagne victorieuse de Napoléon. ». Le couronnement de Joséphine renforce le prestige et le cérémonial qui entoure sa fonction. Ce vaste domaine, bien que ne faisant pas partie des plus grandes exploitations martiniquaises, s'étend sur près de 500 hectares et exploite plus de 200 esclaves valides en 1751[2]. [a 24] » Malgré ce rôle de représentation, Joséphine s'ennuie éperdument en Italie et ne cache rien de sa peine dans la correspondance qu'elle entretient avec ses amis : « Eh bien, je préfère être simple particulière en France. Tout en restant séparée de lui, Joséphine s'affiche alors comme son épouse et joue de sa position pour élargir le cercle de ses relations. Biographie courte de Joséphine de Beauharnais Très occupé par les opérations militaires en cours, il doit souvent s'absenter et leurs entrevues ne durent pas plus de quelques jours. Elle n’a donc porté le nom de « Joséphine de Beauharnais » qu’en reprenant son nom de veuve après son divorce, tout en conservant le prénom sous lequel elle s’était fait connaître en tant qu’impératrice. Napoléon permet néanmoins à Joséphine de conserver le titre d’impératrice douairière en lui donnant l'Élysée, le château de la Malmaison et son domaine de 800 hectares, ainsi que le château de Navarre près d'Évreux, faisant Joséphine duchesse de Navarre par lettres patentes impériales signées le 9 avril 1810[40]. Joséphine de Beauharnais is known in history as the first wife of the French emperor Napoleon I and in turn, the first empress of the French. Je n'aime point les honneurs de ce pays-ci. La grande-duchesse de Bade Stéphanie de Beauharnais, nièce "à la mode de Bretagne" de son premier mari, adoptée et créée Princesse impériale par le second, compte parmi ses descendants la reine Caroline de Saxe, le roi Carol Ier de Roumanie, le roi des Belges Albert Ier, le prince Louis II de Monaco, le grand-duc Henri de Luxembourg. Après le départ du général pour l'Italie, celui-ci adresse à sa femme des billets déchirants et enflammés pour lui témoigner de sa passion, tandis qu'en retour, Joséphine se montre moins exaltée. Elle est morte le 29 mai 1814 à Rueil-Malmaison (France). Puis Joséphine Bonaparte, après son mariage avec Napoléon Bonaparte, le 9 mars 1796. L'impératrice est à l'origine de la première impulsion quant à l'acclimatation de végétaux exotiques sur la Côte d'Azur. », « Impossible d'ouvrir un dossier d'émigré, surtout d'émigré qualifié, sans y trouver une note ou un billet de Mme Bonaparte, « Fille des îles, une légende tenace lui attribue notamment la responsabilité du rétablissement de l'esclavage dans les colonies. C'est Napoléon qui lui donne le nom de Joséphine. En attendant le retour de son mari, elle s'y retire pendant quelques semaines afin de lui montrer l'image d'une « épouse attentionnée et patiente »[a 31]. Elle y épouse Alexandre de Beauharnais avec lequel elle a... Lire la suite. Son frère Joseph l'en avait pourtant averti quelques mois plus tôt à Paris, mais il refusait de le croire[a 30].. Hors de lui, il envisage un temps le divorce[27],[28], puis se console dans le bras d'une maîtresse, Pauline Fourès, la femme d'un officier de chasseurs à cheval[a 30]. Alors que son mari, et la tante de celui-ci, Fanny de Beauharnais, sont très actifs au sein des loges parisiennes, elle est à son tour initiée en franc-maçonnerie, au sein de la loge de la Triple Lumière[a 6]. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction .