diffusé le mar. Florence Griffith-Joyner – Un record imprenable chez les femmes. Le 8 juin 1983, à Berlin, elle améliore de 7/100e de seconde son propre record du monde en le portant à 10 s 81 (vent favorable de 1,7 m/s)[56]. Le 12 mai 2006, lors du meeting de Doha, l'Américain Justin Gatlin égale le record du monde d'Asafa Powell de 9 s 77 (+ 1,7 m/s)[33], performance que réédite Powell moins d'un mois plus tard, le 11 juin 2006 à Gateshead (+ 1,5 m/s)[34], puis une troisième fois le 18 août 2006 lors du meeting Golden League du Weltklasse, à Zurich (+ 1,0 m/s)[35]. Les records du monde les plus fous du Guinness World Records 2019 ... La femme aux plus longues jambes . Le temps de 9 s 79 établi par Ben Johnson en finale des Jeux olympiques d'été de 1988, à Séoul, n'a jamais été homologué. 43 records du monde féminins du 100 m ont été homologués par l'IAAF. 10″49 par Florence Griffith Joyner (1988). sports - 2 min - tous publics. Il est le premier athlète à descendre sous les 9 s 8. Marlies Göhr, première sous les onze secondes (chronométrage électronique). Le record du monde du 100m femmes de Florence Griffith-Joyner tient depuis 1988. Usain Bolt 100m 9.58 World Record Berlin. Cette performance est réalisée dans des conditions idéales : une piste en matière synthétique, un temps chaud et sec, une altitude supérieure à 2 000 mètres et un vent favorable de 0,3 m/s[20]. Pour se qualifier pour les championnats, il faut avoir réalisé 11 s 24 ou moins entre le 7 septembre 2018 et le 6 septembre 2019[3]. L'épreuve du 100 mètres féminin des championnats du monde de 2019 se déroule les 28 et 29 septembre 2019 dans le Khalifa International Stadium, au Qatar. La performance de 9 s 95 de Jim Hines établie lors des Jeux olympiques de 1968 constitue le premier temps de référence[22]. Le 31 mai 2008, lors du Meeting de New-York, pour le cinquième 100 m disputé dans sa carrière, le Jamaïcain Usain Bolt améliore de deux centièmes de secondes le record du monde de son compatriote Asafa Powell en le portant à 9 s 72 (+ 1,7 m/s)[38], devenant le neuvième recordman du monde de la discipline depuis l'apparition du chronométrage électrique en 1968. La dernière modification de cette page a été faite le 28 octobre 2019 à 14:29. Pour cause de dopage avéré, trois records du monde du 100 m sont annulés rétroactivement par l'IAAF : celui du Canadien Ben Johnson (9 s 83 en 1987) et ceux des Américains Tim Montgomery (9 s 78 en 2002) et Justin Gatlin (9 s 77 en 2006). Le Biélorusse Ilya Shymanovich a battu le record du monde du 100m brasse en petit bassin (55''34), ce samedi, en clôture de ses Championnats nationaux. Sa performance sur 100 m, mais également son record du monde du 200 m, toujours inaccessibles de nos jours, ses transformations physiques, ainsi que sa mort prématurée, ont alimenté nombre de polémiques[61] concernant le dopage même si celle-ci ne fut jamais contrôlée positive (à l'instar des anciens athlètes du bloc soviétique)[62]. Ce record sera amélioré le 9 juillet 1965 à Prague par la Polonaise Irena Szewińska qui devient à cette occasion la première athlète à parcourir la distance en 11 s 1[53]. Les… Griffith-Joyner détient les trois meilleures performances mondiales de tous les temps en réalisant par ailleurs 10 s 61 (+ 1,2 m/s) le lendemain de son record du monde, puis 10 s 62 (+ 1,0 m/s) le 24 septembre 1988 en finale des Jeux olympiques à Séoul. Le 100 m est très rarement couru en salle, car les lieux couverts ne sont généralement pas suffisamment grands pour proposer une ligne droite aussi longue. Étiquette : record du monde du 100m femmes. À partir du 1er janvier 1977, l'IAAF ne valide que les records du monde mesurés au chronométrage électronique. Dès les séries, l'Américain Charles Greene et le Français Roger Bambuck égalent le record du monde de 10 s 0[15]. Elles représentent les performances sportives, plus précisément la vitesse en mètre par seconde en fonction de l'âge du sportif. Côté féminin, le temps de 13 s 6 établi le 5 août 1922 par la Tchécoslovaque Marie Mejzlíková constitue officiellement le premier record du monde du 100 m féminin. Le 16 juillet 1988, lors des quarts de finale des sélections olympiques américaines, à Indianapolis, l'Américaine Florence Griffith-Joyner remporte sa course en 10 s 49 (vent nul) et établit un nouveau record du monde du 100 m en améliorant de 27 centièmes de seconde le temps d'Evelyn Ashford[59]. 8. Il reste détenteur du record du monde du 50 m brasse petit bassin (25''25 en 2009 également). La compétition est surnommée « The Night of Speed » (La nuit de la vitesse). D'autre part, l'IAAF ne reconnaît pas de record du monde en salle sur 100 mètres[65], on parlera donc de meilleure performance mondiale. Le 9 août 1930, à Toronto, le Canadien Percy Williams est le premier athlète à être chronométré en 10 s 3 sur 100 m, performance égalée ensuite par cinq autres athlètes : Eddie Tolan le 1er août 1932 à l'occasion de sa victoire aux Jeux olympiques de Los Angeles[7], ses compatriotes Ralph Metcalfe (le 12 août 1933 à Budapest, puis les 15 et 23 septembre 1934 à Osaka et Dairen) et Eulace Peacock (le 6 août 1934 à Oslo), le Néerlandais Christiaan Berger (le 26 août 1934 à Amsterdam) et enfin le Japonais Takayoshi Yoshioka (le 15 juin 1935 à Tokyo)[8]. L'Américaine Wyomia Tyus établit en 1968 à Mexico le premier record mondial mesuré électroniquement, en 11 s 08[3]. Vidéo suivante dans 5 secondes. 10″49. Le record du monde du 100m Sport. Les meilleures performances mondiales cadets sont la propriété de l'Américain Anthony Schwartz (10 s 15 le 31 mars 2017 à Gainesville) et de la Jamaïcaine Briana Williams (10 s 94 le 21 juin 2019 à Kingston)[74]. Record du monde de natation dames du 100 mètres nage libre. Le 15 octobre 1964, lors des quarts de finale des Jeux olympiques, à Tokyo, l'Américaine Wyomia Tyus, championne olympique en 1964 et 1968, égale le record du monde de 11 s 2 de sa compatriote Wilma Rudolph[52]. These ladies prove that age is just a number. Le 20 juin 1968, lors des championnats des États-Unis d'athlétisme de 1968 qui ont lieu au Hugues Stadium de Sacramento en Californie[3], cinq records du monde du 100 m sont égalés ou battus dans la même soirée, et ce en l'espace de 2 h 30 seulement. Don Quarrie, dernier détenteur du record du monde au chronométrage manuel (9 s 9). Le premier record du monde féminin du 100 mètres homologué par l'IAAF[47] est celui de la Tchèque Marie Mejzlíková qui établit le temps de 13 s 6 le 5 août 1922 à Prague. Selon une étude néerlandaise publiée par l'université de Tilbourg en juillet 2012, la possibilité pour Usain Bolt de courir le 100 m en 9 s 40 est « réalisable »[71]. signaler. Un record qui n’est pas prêt d’être battu, quand on sait les lourds soupçons de dopage qui ont pesé sur elle après une transformation morphologique visible et une demi-seconde gagnée l’année de ce record. Portail des records Le champion olympique du 200m, Yannick Agnel est revenu avec brio à son premier amour, le 400m nage libre. Le record du monde de Jesse Owens est égalé le 6 juin 1941 à Compton par son compatriote Harold Davis, puis à deux reprises lors de la saison 1948 : le 15 mai à Fresno par le Panaméen Lloyd LaBeach et le 9 juillet à Evanston par l'Américain Barney Ewell[10]. lire aussi Records du monde du 4x100m et du 50m dos femmes Le 9 septembre 2007, lors du meeting de Rieti, Asafa Powell retranche trois centièmes de seconde à son propre record du monde en établissant le temps de 9 s 74 (+ 1,7 m/s)[37]. Les informations, résultats et classements de tous … info. C’était la troisième fois que Bolt baissait le record du 100 m en prenant 11 millièmes de seconde de moins que son temps effectué pour gagner l’or à Beijing 2008. Jesse Owens porte le record du monde du 100 m à 10 s 2 en 1936. En outre, l'usage des starting-blocks, mis en place depuis la seconde moitié des années 1920 aux États-Unis et qui permet de faciliter le départ des coureurs, ne sera admis par l'IAAF qu'à partir de 1937[5]. Le record du monde de 10 s 0 est égalé à deux reprises en 1967 : par l'Américain Jim Hines le 27 mai lors des Califormia Relays à Modesto[3], par le Cubain Enrique Figuerola le 17 juin à Budapest, puis de nouveau en 1968 par le Sud-Africain Paul Nash le 2 avril à Krugersdorp lors des championnats nationaux et par l'Américain Oliver Ford le 31 mai à Albuquerque. Le but de l’apnée dynamique est de parcourir la plus grande distance possible en immersion dans une piscine avec ou sans palmes. Les 9 s 9 sont atteints à trois reprises lors de la saison 1972 : par les Américains Eddie Hart et Rey Robinson le 1er juillet à Eugene lors des sélections olympiques américaines[20], et par leur compatriote Steve Williams le 21 juin à Los Angeles durant les championnats de l'AAU ; à trois reprises lors de la saison 1975 : par le Cubain Silvio Leonard le 5 juin au Golden Spike d'Ostrava[3], et par Steve Williams le 16 juillet à Sienne et le 22 août à l'ISTAF Berlin[21] ; et à quatre reprises lors de la saison 1976 : par Steve Williams le 27 mars à Gainesville lors des Florida Relays, par son compatriote Harvey Glance le 3 avril à Columbia et le 1er juin à Bâton-Rouge, et enfin par le Jamaïcain Don Quarrie le 22 juin à Modesto lors des California Relays[3]. Ce record est battu d'un centième de seconde, trois ans plus tard, le 14 juin 2005 à Athènes, par le Jamaïcain Asafa Powell qui franchit la ligne d'arrivée en 9 s 77 (+ 1,6 m/s)[31]. Le record du monde de Stanisława Walasiewicz et Helen Stephens n'est amélioré que onze ans plus tard, le 13 juin 1948 à Amsterdam, par la Néerlandaise Fanny Blankers-Koen, championne olympique de la discipline en 1948 à Londres, qui établit le temps de 11 s 5[49]. Le chercheur Sander Smeets a obtenu ce résultat en analysant à l'aide de modèles mathématiques et statistiques les temps de référence sur 100 m des 1 034 meilleurs athlètes mondiaux depuis 1991. Jim Hines, premier athlète à descendre sous les dix secondes sur 100 m. Roger Bambuck égale le record du monde de Jim Hines en 1968. En 1968, à l'occasion des Jeux de Mexico, son compatriote Jim Hines devient avec 9 s 95 le premier détenteur du record mondial du 100 m mesuré à l'aide du chronométrage électronique. Le 23 août 2014, Usain Bolt réalise 9 s 98 dans le stade national de Varsovie, recouvert d'un toit lors de la course, conduisant alors certains médias à qualifier le temps de « nouvelle meilleure performance mondiale de tous les temps sur 100 m en salle »[66],[67],[68]. Le premier record du monde masculin du 100 mètres homologué par l'Association internationale des fédérations d'athlétisme (IAAF) est celui de l'Américain Don Lippincott qui établit le temps de 10 s 6 le 6 juillet 1912, à Stockholm, en séries des Jeux olympiques[4]. Une prouesse dont la réalisatrice Lola Amaria n’a sans doute jamais douté. Longtemps accroché, le record du monde de 11 s 07 de Renate Stecher est amélioré à deux reprises lors de la saison 1976 : une première fois le 13 juin à Fürth par l'Allemande de l'Ouest Inge Helten qui réalise le temps de 11 s 04, et une deuxième fois le 25 juillet au cours des demi-finales des Jeux olympiques à Montréal, par sa compatriote Annegret Richter qui quelques minutes avant son titre olympique, établit le temps de 11 s 01[56]. Le premier record du monde masculin du 100 mètres homologué par l'Association internationale des fédérations d'athlétisme (IAAF) est celui de l'Américain Don Lippincott qui établit le temps de 10 s 6 le 6 juillet 1912, à Stockholm, en séries des Jeux olympiques . « nouvelle meilleure performance mondiale de tous les temps sur 100, Un doute plane sur la fiabilité de la mesure de l'anémomètre ; voir le, Aux premières olympiades sportives entièrement russe, en 1913, la Russe, Association internationale des fédérations d'athlétisme, championnats universitaires des États-Unis, championnats des États-Unis d'athlétisme de 1968, Progression du record du monde du 100 m masculin, « L’ombre du dopage plane sur la mort de Griffith-Joyner », Progression du record du monde du 100 m féminin, Amérique du Nord, Amérique centrale et Caraïbes, Meilleures Les records du monde juniors du 100 m sont actuellement détenus par l'Américain Trayvon Bromell, auteur de 9 s 97 le 13 juin 2014 à Eugene, devenant à cette occasion le premier athlète junior à franchir la barrière des dix secondes, et par l'Américaine Sha'Carri Richardson, créditée de 10 s 75 le 8 juin 2019 à Austin[73]. Record du monde 400m nage libre femme. Cette centenaire vient de battre le record du monde du cent mètres en 40 secondes et 12 centièmes dans la catégorie des femmes de plus de cent ans. Les 10 s 2 sont établis également par le Britannique McDonald Bailey le 25 août 1951 à Belgrade, puis par l'Allemand Heinz Fütterer le 31 octobre 1954 à Yokohama. Le record du monde du 100 m de Don Lippincott est égalé le 16 septembre 1920, toujours à Stockholm, par son compatriote Jackson Scholz, puis battu le 23 avril 1921 par l'autre américain Charley Paddock, champion olympique sur cette distance en 1920 à Anvers, qui établit le temps de 10 s 4 à Redlands en Californie[6]. Aux États-Unis, et depuis la fin du XIXe siècle, les épreuves de sprint court se disputent quasi exclusivement sur la distance de 100 yards (91,44 m), ou plus rarement sur 110 yards (100,58 m), mais contrairement à d'autres épreuves, l'IAAF ne reconnait pas ces distances comme record du monde. Les deux hommes se retrouvent l'année suivante, le 24 septembre 1988, en finale du 100 m des Jeux olympiques, à Séoul, où Ben Johnson remporte la course en 9 s 79, améliorant de 4/100e son propre record du monde. Le 1er août 1932, la Polonaise Stanisława Walasiewicz remporte le titre du 100 m des Jeux olympiques de Los Angeles en égalant le record du monde de 11 s 9 de Tollien Schuurman[48]. Le premier record du monde du 100 m homologué par l'Association internationale des fédérations d'athlétisme est celui de l'Américain Don Lippincott le 6 juillet 1912 lors des Jeux olympiques de Stockholm, avec le temps de 10 s 6. Le cœur avec le contrôle du blog sur le ventre. extrait. Lewis devient à cette occasion le premier athlète sous les 9 s 9[3]. Le 3 août 1956, à Berlin, leur compatriote Willie Williams améliore le record mondial du 100 m établi pour la première fois vingt ans plus tôt par Jesse Owens, en atteignant les 10 s 1, record égalé rapidement par l'autre américain Leamon King : dès le lendemain à Ontario en Californie, puis une semaine plus tard, le 27 octobre à Santa Ana, toujours en Californie[12]. ajouter aux favoris retirer des favoris . Championne du monde du 100 m en 1983, et triple championne d'Europe de 1978 à 1986, elle réédite cette performance de 10 s 88 le 9 juillet 1982 lors de la rencontre d'athlétisme RDA-États-Unis à Karl-Marx-Stadt[57]. Il établit à cette occasion l'amélioration la plus nette du record du monde dans cette discipline (11/100e) depuis le passage au chronométrage électronique, et devient le premier à améliorer trois fois de suite le record du monde du 100 m. Lors de cette course, il parcourt les 100 mètres à la vitesse moyenne de 37,58 km/h et atteint une vitesse maximale de 44,72 km/h entre 60 et 80 m[41],[42]. Le 30 août 1987, en finale des championnats du monde, à Rome, le Canadien Ben Johnson, qui a établi le temps de 9 s 95 l'année précédente, remporte le titre mondial en 9 s 83, devant l'Américain Carl Lewis (9 s 93), améliorant de 10/100e de seconde le record du monde de Calvin Smith[24]. Pamera Losange FRA au premier plan au départ de la phase 2 du 100 mètres femmes d'athlétisme sur le terrain d'athlétisme du parc olympique de la jeunesse. Fanny Blankers-Koen établit le temps de 11 s 5 en 1948. Commençons par les femmes ! Armin Hary, premier athlète à 10 s 0 juste. Portail de la natation. Record du monde apnée statique femmes. Renate Stecher améliore à deux reprises le record du monde au chronométrage manuel : 10 s 9 le 7 juin 1973 à Ostrava et 10 s 8 (11 s 07 au chronométrage électronique) le 20 juillet 1973 à Dresde[55]. Le 16 août 2008, Usain Bolt améliore de 3/100e de seconde son propre record du monde en établissant le temps de 9 s 69 à l'occasion de sa victoire aux Jeux olympiques de 2008, à Pékin, en relâchant son effort à une vingtaine de mètres de l'arrivée[39]. Carl Lewis, qui a terminé deuxième des mondiaux de Rome et des Jeux olympiques de Séoul, récupère les titres vacants et devient le nouveau détenteur du record mondial en 9 s 92, même si sa performance de 9 s 93 de Rome, qui égalait le record du monde de Calvin Smith, n'a jamais fait l'objet d'homologation de la part de l'IAAF. Le 14 octobre 1968, Jim Hines égale le record du monde de 9 s 9 à l'occasion de sa victoire en finale des Jeux olympiques de 1968, à Mexico, et devient par ailleurs le premier détenteur du record du monde mesuré au chronométrage électronique, en 9 s 95[19]. Sa … Temps Athlète Naissance Âge Nationalité Compétition Lieu Date 1 … Elle est actuellement détenue par le Namibien Frankie Fredericks en 10 s 05 (1996). Records du monde du 100 m selon l'âge Les courbes présentées sont deux exponentiels très simples à modéliser. Ce record est porté à 12 s 8 le 20 août 1922 à Paris par la Britannique Mary Lines, à 12 s 4 le 22 août 1926 à Brunswick par l'Allemande Gundel Wittmann, à 12 s 2 le 20 mai 1928 à Osaka par la Japonaise Kinue Hitomi, et enfin à 12 s 0 le 2 juillet 1928 à Halifax par la Canadienne Myrtle Cook. Les records du 100 m femmes (mondial, des championnats et par continent) étaient avant les championnats 2019 les suivants[1] : Les dix athlètes les plus rapides de l'année sont, avant les championnats, les suivantes[2]. 2012 — Un record du monde invaincu pendant 27 ans. A l'heure où l'ultra-trail et les épreuves d'endurance en nature sont de plus en plus populaires, le nouveau record du monde établi par le japonais Nao Kazami la semaine passée sur l'épreuve traditionnelle du lac Saroma a réveillé l'intérêt pour le 100 km route. Aidée par un vent favorable de 2,0 m/s à la limite autorisée, l'athlète de dix-neuf ans établit temps de 10 s 88, améliorant de 19/100e le record du monde d'Annegret Richter[56]. Asafa Powell, 9 s 77 en 2005 et 2006, et 9 s 74 en 2007. AR Record continental (area record) • CR Record des championnats (championship record) • DNF N'a pas terminé (did not finish) • DNS N'a pas pris le départ (did not start) • DQ Disqualification (disqualification) • MR Record du meeting (meet record) • NR Record national (national record) • OR Record olympique (olympic record) • PB Record personnel (personal best) • SB Meilleure performance personnelle de la saison (season's best) • WL Meilleure performance mondiale de l'année (world leader) • WJR Record du monde junior (world junior record) • WR Record du monde (world record), 100 m féminin aux championnats du monde de 2019, Dernière modification le 28 octobre 2019, à 14:29, 100 mètres aux championnats du monde d'athlétisme, Résultats par épreuve des championnats du monde d'athlétisme 2019, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=100_mètres_féminin_aux_championnats_du_monde_d%27athlétisme_2019&oldid=163930716, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Course à relai 4×100 m — femmes, Tianna Madison, Allyson Felix, Bianca Knight & Carmelita Jeter, 40, 82 secondes Wyomia Tyus égale ou améliore à trois reprises le record du monde du 100 m. Le 18 juillet 1970, à Vienne, la Taïwanaise Chi Cheng, invaincue pendant dix-huit mois sur les épreuves de sprint court, égale le record du monde de 11 s 0 de Wyomia Tyus. Dans la première demi-finale, Jim Hines devient le premier athlète à descendre sous la barrière des dix secondes en établissant le temps de 9 s 9 avec un vent favorable régulier de 1,4 m/s[16]. Le 3 juillet 1983, l'Américaine Evelyn Ashford devient la nouvelle détentrice du record mondial en établissant le temps de 10 s 79 (+ 0,6 m/s) à Colorado Springs, en altitude, record qu'elle porte à 10 s 76 (+ 1,7 m/s) le 22 août 1984 lors du meeting Weltklasse de Zurich, peu après son titre olympique décroché à Los Angeles[58]. Les records du monde du 100 mètres sont actuellement détenus par le Jamaïcain Usain Bolt avec le temps de 9 s 58, établi le 16 août 2009 en finale des championnats du monde, à Berlin en Allemagne, et par l'Américaine Florence Griffith-Joyner, créditée de 10 s 49 le 16 juillet 1988 lors des quarts de finale des sélections olympiques américaines d'Indianapolis, aux États-Unis[2]. Le 21 juin 1960, à Zurich, l'Allemand Armin Hary, champion olympique à Rome, devient le premier athlète à atteindre le temps de 10 s 0 juste sur 100 m. Il établit cette performance une première fois mais le starter décide d'annuler le résultat, estimant que l'Allemand a anticipé le départ. L'IAAF homologue cependant ce record du monde après avoir néanmoins diligenté une enquête au début des années 1990. La distance du 60 m est donc plus courante pour les courses en salle. Le 13 décembre 2005, le Tribunal arbitral du sport confirme la suspension et l'annulation du record du monde établi en 2002 par Tim Montgomery, convaincu de dopage dans le cadre de l'Affaire Balco[32]. Toujours selon cette étude, le record du monde possible de manière ultime en ce moment est de 9 s 36[72]. par BuzzVid. Mais, convaincu de dopage trois jours plus tard, Johnson est destitué de son titre olympique, entraînant la non-homologation de son record du monde[25]. Il est également le premier athlète à franchir la barrière des dix secondes. Don Lippincott, premier détenteur du record du monde du 100 m. Percy Williams atteint les 10 s 3 en 1930. Il a actualisé une étude qu'il avait déjà conduite en 2008, et qui concluait que le « record mondial ultime » se situait à 9 s 51. Progression du record du monde de natation sportive dames pour l'épreuve du 100 mètres nage libre en bassin de 50 et 25 mètres. À partir du 1er janvier 1977, l'IAAF ne valide que les records du monde mesurés au chronométrage électronique. Florence Griffith-Joyner - Un record imprenable chez les femmes Le record du monde du 100m femmes de Florence Griffith-Joyner tient depuis 1988. Elle est rejoint par l'Est-allemande Renate Stecher qui réédite cette performance à trois reprises : une première fois le 2 août 1970 à Berlin, une deuxième fois le 31 juillet 1971, toujours à Berlin, et une troisième fois le 3 juin 1972 à Potsdam (- 1,5 m/s)[55], puis par l'autre Est-allemande Ellen Stropahl qui établit le temps de 11 s 0 le 15 juin 1972, toujours à Potsdam, et enfin par la Tchèque Eva Glesková le 1er juillet 1972 à Budapest. Le 22 juillet 2016, au meeting de Londres, Kenra Harrison bat le record du monde du 100m haies en 12,20 secondes améliorant d'un centième de l'ancien record de … La dernière modification de cette page a été faite le 9 septembre 2020 à 23:08. Nous vous proposons aujourd’hui de faire le point sur les records du monde. En 6,995 secondes, Aries Susanti Rahayu, 24 ans, a fait la une de la presse mondiale ce week-end en battant le record du monde de vitesse en escalade à Xiamen, en Chine, devenant ainsi la première femme à descendre sous les 7 secondes sur un mur de 15m. Le site Monde du record a été créé pour recenser quotidiennement les nouveaux records du monde que ce soit dans le domaine sportif, technologique, insolite et bien d'autres catégories.. Des records qui ne sont pas forcément d'actualité mais tout aussi passionnants sont aussi ajoutés régulièrement pour vous lecteurs. Le 7 septembre 2014, le serveur bavarois Oliver Strümpfel bat son propre record du monde : il réussit à porter 27 chopes de bière sur une distance de quarante mètres à Abensberg, en Allemagne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Record du monde masculin Premiers records. En 1929, son compatriote Eddie Tolan égale à deux reprises le record du monde de Charley Paddock : une première fois le 8 août à Stockholm et une seconde fois le 25 août à Copenhague. Le 4 août 1955, à Varsovie, sa compatriote Shirley Strickland améliore d'un centième de seconde le record mondial de Marjorie Jackson en parcourant la distance en 11 s 3, performance égalée à deux reprises : une première fois par la Russe Vera Krepkina le 13 septembre 1958 à Kiev, et une deuxième fois par l'Américaine Wilma Rudolph le 13 septembre 1960 à Rome en demi-finale des Jeux olympiques (11 s 41 au chronométrage électronique)[50]. Walasiewicz améliore à trois reprises le record du monde en le portant à 11 s 8 le 17 août 1933 à Poznań, à 11 s 7 le 26 août 1934 à Varsovie, et à 11 s 6 le 1er août 1937 à Berlin, performance qu'avait déjà établie l'Américaine Helen Stephens le 20 juin 1935 à Kansas City. Maurice Greene, premier athlète à descendre sous les 9 s 8. Le 6 juillet 1994, lors du meeting Athletissima de Lausanne, Leroy Burrell reprend son bien en portant le record du monde à 9 s 85 (+ 1,2 m/s), record amélioré d'un centième de seconde deux ans plus tard, le 27 juillet 1996 à Atlanta en finale des Jeux olympiques, par le Canadien Donovan Bailey, champion du monde en 1995, qui s'impose dans le temps de 9 s 84 (+ 0,7 m/s)[29]. Un jour plus tard, le 15 octobre 1968, toujours à Mexico, Wyomia Tyus remporte la finale et devient la première athlète en 11 s 0[54], temps converti en 11 s 08 constituant le premier record du monde féminin au chronométrage électronique au centième de seconde[53]. Contraction cuisses senior des créneaux de libération d’hormones de sorte que le sentiment que les personnes ayant du. Sa marque aura tenu un peu plus de onze ans. Le record du monde est égalé à plusieurs reprises, le 15 juillet 1960 à Saskatoon par le Canadien Harry Jerome, puis à deux reprises lors de la saison 1964 : une première fois par le Vénézuélien Horacio Esteves le 15 août 1964 à Caracas, et une seconde fois par l'Américain Bob Hayes le 15 octobre 1964 à Tokyo à l'occasion de sa victoire en finale des Jeux olympiques[14].

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